SINGA : NOTRE PARTENAIRE POUR MULTIPLES

10% DES VENTES DE L'EXPOSITION MULTIPLES REVERSÉS À SINGA

SINGA défend l’idée d’un monde en mouvement. Du mouvement pour faire se rencontrer les idées, les opinions, les individus. Du mouvement dans les perceptions. Du mouvement dans les clichés, les idées préconçues. Parce qu’aucun projet de société souhaitable n’émerge de l’immobilisme et du repli sur soi.

 

SINGA est une organisation internationale créée en 2012 par Guillaume Capelle, Nathanaël Molle et Alice Barbe. Elle rassemble des locaux et nouveaux arrivants (personnes réfugiées, demandeurs d’asile…) et les encourage à s’engager ensemble dans des projets sociaux, professionnels et entrepreneuriaux. SINGA dans le monde, c’est :

  • Une communauté de plus de 50 000 membres (locaux et nouveaux arrivants) rassemblée autour de passions, de compétences ou de projets communs
  • Une présence dans 7 pays et 17 villes avec des parcours entrepreneuriaux locaux et inclusifs
  • Un écosystème vertueux (communauté, dirigeants et institutions) qui invente l’avenir de la migration, et ambitionne de créer une société riche de ses diversités

 

Depuis sa création en 2012, les activités de SINGA prouvent que l’innovation sociale et économique se nourrit des migrations et de la création de liens. Chaque rencontre, chaque programme, chaque structure créée au sein de SINGA devient source d’expérimentation permettant de construire la société de demain.

 

 

 

Aujourd’hui, 80 millions de personnes (soit 1% de la population mondiale) vivent en situation d’exil, selon l’UNHCR. D’après l’ONU, ce nombre augmentera à 300 millions d’ici 2050, avec l’accélération du réchauffement climatique et l’instabilité politique et économique de certains pays. Si l’Europe est un des lieux d’accueil importants de ces populations, elle peine à trouver des solutions durables pour susciter une réelle inclusion des nouveaux arrivants.

 

Dans l’imaginaire collectif des pays d’accueil, le mot “migrant” renvoie souvent à l’idée d’une masse informe, déshumanisée, précaire, voire dangereuse. Cette perception biaisée engendre des débats sur les questions de sécurité nationale et polarise les sociétés, faisant émerger le narratif du “nous” versus “eux”. Une conception stérile, comme le soulignent des chercheurs comme Otto Scharmer, professeur au MIT, qui rappelle à quel point ce “nous” peut évoluer à travers les époques et inclure de plus en plus de profils.

 

Nous refusons de voir la migration comme un enjeu uniquement humanitaire ou sécuritaire. La migration nous offre une occasion vitale de rencontrer de nouvelles personnes, de donner du sens à nos vies de citoyennes et de citoyens. Elle est à la fois une opportunité économique, un terreau de connaissances sans limites et un enrichissement culturel permanent.